Bienvenue dans notre série de newsletters qui retrace, chapitre par chapitre, notre grande aventure en autostop. Bonne lecture!
Après avoir passé une nuit dans l'appartement des parents d'Ednild, notre super hôte de Vlora, nous voilà sans plan précis pour les 2 prochains jours. Nous faisons route et décidons de dormir à la belle étoile, seuls, sur la plage de Gjipe, une crique sauvage de la Riviera albanaise...
Le temps tourna aux pluies diluviennes, nous laissant enfermés durant 3 jours. Heureusement, Amar et ses deux jeunes frères se sont bien occupés de nous, en nous cuisinant des recettes locales et en nous apprenant à jouer au Raub...
Mi-mars, je suis tombée en Bosnie-Herzégovine, à 1500km de chez moi, et je me suis fait très mal: mon nez s'est retrouvé cassé, mon arcade sourcilière droite s'est ouverte et mon visage était complètement en sang. Un mois après cet accident, je reviens avec vous sur cet épisode qui m'a marquée (au visage et à vie).
Quand le contrôleur croate nous demande de payer, nous n'avons plus de cash: nous lui montrons notre carte de crédit, mais il nous répond qu'il est impossible de payer autrement qu'en cash. Nous lui promettons de le payer en arrivant, lorsque nous pourrons retirer quelques kunas, mais cette solution ne l'enchantait pas. Contre toute attente, l'autre passagère de notre compartiment finit par sortir de la monnaie et payer nos billets de train!
Comme beaucoup d'entre vous le savent déjà, notre aventure a commencé par un concours de circonstances exceptionnelles: en juin 2016, pour des raisons personnelles, je décide de quitter l'entreprise pour laquelle je travaillais depuis 1,5 ans. Pour Julien, l'annonce de ma démission lui a fait l'effet d'un "déclic"!